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 ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES.

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4 participants
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Gillian Wellington

Gillian Wellington


∞ POSTS : 2
∞ INSCRIT(E) LE : 10/05/2012
∞ CREDITS : unknown
∞ PSEUDO : peanuts

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MessageSujet: ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES.   ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. EmptyJeu 10 Mai - 20:59

▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. 625529tumblrm0urr10a7W1rqqiwyo1500

© underneaththosestarryskies @tumblr.

GILLIAN WELLINGTON
❝ Je pouvais pas être à un seul homme pour le restant de mes jours, c’est totalement faux mais je l’ai dit quand même. Il m’a demandé si j’étais un écureuil et si je prenais les hommes pour des noisettes. ❞
Vingt et un ans ∞ Vingt-huit novembre, Chicago ∞ Étudiante en sciences ∞ Palmerston

∞ all this and heaven too


▽ Gillian c'est un charmant mélange qui détonne. Avec un fâcheuse tendance à être très contradictoire, elle est à elle même un mélange d’exaltation et d’inhibition déconcertant, car elle peut se montrer charmante et sociable, tout comme faire demi tour radicalement, sans aucune explication logique. ▽ Gillian déteste être au centre de l'attention, avoir des yeux rivés sur elle. ▽ Elle est accroc au thé. C'est une tendre alors, le café noir, ça ne passe pas. Un peu de douceur dans ce monde voyons. ▽ Gillian est beaucoup trop spontanée, il lui arrive très souvent de faire des actes totalement irréfléchis, inconscients. D'où certains regrets, certaines frayeurs, et joies. ▽ Elle devrait porter des lunettes mais ne les supporte pas plus de quelques heures. Elle ne les porte que le matin, secret d'état. ▽ Elle adore le chocolat, la menthe et la pâte d'amande. Ce sont les trois sucreries qu'elle pourrait manger à s'en exploser le ventre comme une enfant de cinq ans avec un paquet de bonbon sous le nez. ▽ Gillian est le genre de demoiselle qui n'a aucune gêne à sortir sans maquillage, dans un bon sweat et un jean. ▽ Autant elle peut être très adroite dans la vie de tous les jours, autant lorsqu'elle tente de tenir sur des talons trop hauts, c'est une catastrophe de la nature ▽ Sportive, elle fait depuis longtemps de la voile, une vraie passion, tout comme de a course à pied. ▽ Gillian reste toutefois une handicapée de l'amour. En effet très carriériste, elle a toujours fait passer ses études avant les relations humaines, sauf que désormais, cela lui joue des tours.


∞ only if for a night


La vie est un conte de fée merveilleux avec des licornes et des monstres. Ça, c'est que disent les parents. Dieu sait dans quelle famille on m’a éduquée. La famille de Gillian, c'est le genre qui vous raconte des salades à longueurs de journées, qui essaye de garder son capital jeunesse à vie, et qui vivent comme des curés, qui se couchent à l'heure des poules. Être parfaits et tirés à quatre épingles tous les jours, c'est leur devise et manière de vivre. Mais surtout, faut jamais leur en vouloir pour car ils font ça pour préserver la symbolique du nom Wellington. À mon humble avis, ils vivent dans un monde illusoire.

Les gens sont là, autour d'un berceau rose pastel, les femmes d'un côté, les hommes de l'autre. Cette petite fête est pour l'arrivée du bébé, qui se trouve dans un berceau, qui lui se trouve dans la salle des femmes. Les hommes jouent, tout en discutant, les sujets de conversations ne sont pas les mêmes, pour les femmes et les hommes. Je dois vous l'avouer, ce genre de scène se passe dans les contes de fées, les séries, les films, peut être chez la Reine d'Angleterre et encore, mais pas dans notre humble réalité. Je ne sais pas, on envoie un faire-part, et puis le tour est joué. Qui veut sincèrement admiré un petit tas de trois kilos et quelques, gesticulant, et ressemblant plus à un elfe qu'autre chose? La famille Wellington et tous les amis de celle-ci. Dès la naissance de Gillian, les Wellington ont décidé d'organiser une grande fête prénatale. Oui, tout le gratin De Chicago pour voir une petite gamine et ses bouclettes. Oui, tout cela s'est déroulé pour Gillian. Son histoire sur cette terre a commencé avec un « il était une fois », mais reste à savoir si il aura son « happy ending ». Elle a été accueillie comme une princesse. Le sobre et le naturel, ils ne connaissaient pas apparemment.

Mamma, I sometimes wish I never been born it all.
Mme Wellington, c’est avec plaisir que je vous annonce que vous allez être maman d’une petite fille Voilà ce qu’annonça le docteur attitré depuis des années de la famille Wellington. Pour cette écographie, Lizbeth n’était pas accompagné de son mari, occupé par une réunion d’affaire avec les autres collègues de son entreprise. Oui la famille des Wellington remonte à bien des années et fait partie du gratin De Chicago. Une fois raccompagnée par son chauffeur, Lizbeth retrouva son mari dans le séjour. Wlliam, c'est une fille! s’écria Lizbeth, enjouée. C’était une belle femme, brune, elle avait toujours aimé la vie, voire un peu trop pour sa condition de femme d'homme d'affaire, trop libertine aux goûts de ses parents et de son mari. Son mari lui lança un regard froid et ne disait pas un seul mot. Lui aussi était bel homme mais avait un côté très guindé. Will, tu n'es pas heureux de l'apprendre? demanda naïvement Lizbeth. Ne m’appelle pas « Will » on est plus des adolescents. Depuis qu’il avait ses nouvelles responsabilités il était différent, enfin, pour sa femme. Tu voulais un garçon, c'est ça? Dis le si ça te froisse. Lizbeth baissa la tête déçue que son mari n’accepte pas cette grossesse. Oui, un garçon, une forte tête capable de reprendre les affaires de la famille. Lizbeth fut atrocement humiliée de savoir que son mari jugeait son propre enfant avant même sa naissance et de cette preuve de sexisme évident. Et pourquoi elle n'en serait pas capable? demanda t-elle à William. Une femme, en haut de l'échelle? Il faudrait éviter qu'elle soit une rêveuse comme toi. Lizbeth enchaîna. Laisse tomber Will. Mais..je voudrais qu'on l'appelle Gillian comme cette chanson.. William serra le poing pour se contenir et pris sa femme par les épaules. Tu es vraiment pathétique Liz, réveille toi. Lizbeth ne broncha pas, elle n’avait plus aucun pouvoir auprès de son mari. Gillian, , Wellington. Trois mois de grossesse et elle se sentait déjà coupable. Six mois plus tard le 4 octobre, la petite tête brune aux yeux noisettes nommée Gillian Wellington pointait le bout de son nez, dans les appartements de la famille Wellington, à Chicago.

Is this the real life, is this just fantasy ?
Gillian, , Wellington, descends de cette table immédiatement! S’écrièrent la dame de compagnie de la famille et Lizbeth, sur la petite Gillian, cinq ans, en train de virevolter sur l’immense table de la salle de séjour, tandis que les invités, confus, attendaient qu’on puisse les installer à table. Lizbeth pris sa fille dans ses bras et l’emmena dans sa chambre à l’étage, faisant signe aux invités et à son mari de ne pas l’attendre. Ma princesse, combien de fois je t'ai dis qu'on ne montait pas sur la table en présence d'invités? Lui demanda t-elle gentiment à sa fille assise sur une énorme chaise baroque. Je suis une princesse ? Je suis une princesse ! C’est vrai ? Mais je veux faire comme les autres dans mon école. dit la petite fille en riant. Presque une princesse, mais il ne faut pas faire de bêtises alors. Lizbeth ne savait pas comment dire à sa fille de se priver des choses de la vie comme on le lui avait fait pendant son enfance. Mais il le fallait. Pourquoi maman? demandant timidement Gillian. Parce que si tu n'es pas sage, papa et maman auront des ennuis.. Oui, si leur fille s’exposait de trop ou si ils n’étaient pas parfaits, les dignitaires n’hésiteraient pas une seconde à leur retirer leur parts de l'entreprise. Je serai toujours sage. Promis. Gillian embrassa sa mère sur la joue et souri avec ses petites dents avant de prendre sa mère par la main et descendre rejoindre les invités.

Daddy, daddy cool, i want a daddy cool !
Gillian! Tu veux bien rejoindre ton père pour ta leçon? demanda Lizbeth à sa fille, âgée de dix ans à peine. Une leçon de bonnes manières. Gillian voulait faire de la danse, mais non, elle voulait faire du volley, non aussi. S'inscrire au club de sciences oui, mais sinon elle faisait presque tout à part. J'y vais, j'y vais maman. Elle dévala les escaliers du manoir et arriva en détalant dans le séjour, où son père l’attendait. Gillian, ne cours pas dans la maison. dit froidement son père. Oui. Elle s’installa sur la chaise en face de son père, où se trouvaient tous les ustensiles pour la leçon, les couverts. Tu as encore oublié de saluer les invités avant de t'asseoir. Gillian se releva sans piper mots et fit un simple plié de jambe et s’assied sur la chaise. Elle effectua le reste de ce qu’elle devait faire sans briller forcément, faisant une faute toutes les deux actions. Gillian était très gauche et on ne peut pas dire qu’elle voulait se guinder, elle voulait vivre, courir dans l’herbe, faire des batailles de peinture, des batailles d’eau avec ses amies de l’école. Son père finit la leçon en expédiant une simple remarque. Tâche de mieux faire la prochaine fois. On dirait que tu as deux bras gauches. Gillian baissa la tête. Elle ne comprenait pas pourquoi son père ne lui avait jamais porté d’attention, plus elle grandissait et plus elle ressentait un manque d’affection paternelle. Je fais de mon mieux moi. J'y peux rien moi avec ces trucs rabat-joie. dit-elle froidement à son père, un peu vexée et humiliée. Tu tiens bien de ta mère toi. J'avais raison, tu n'es pas faite pour ce genre de vie. C’est comme cela qu’elle compris que son père aurait préféré un garçon, après avoir demandé à sa mère.

It’s just a little crush for him.
On connaissait un américain à Paris, mais pas un Californien à Chicago. Au lycée, une famille californienne débarquait à Chicago. Au lycée c’était la cohue pour apercevoir le nouveau venu. Apparemment c’était un garçon, en année de terminale. Il avait un an de plus que Gillian par conséquent. Auparavant, c’était elle qui récoltait tous les regards plutôt émerveillés de par son statut, mais là, toute l’école avait les yeux rivés sur le jeune homme, aux origines latines, avec un style à la fois chic et rock implacable. Gillian a également été prise de frénésie soudaine et d’un gros béguin pour le jeune homme. Très vite les gens se sont désintéressés de lui car il avait une soit disante mauvaise influence sur les élèves, la ville est petite et les rumeurs vont vites. Mais cela n’empêchait pas sa popularité auprès de tous. Rentré dans l’équipe de lacrosse, c’était une évidence. Gillian déjà timide ne se tenait même plus en place lors des matchs. Gillian, te fais pas trop d'espoirs. conseilla une amie de Gillian. J'vois pas pourquoi je pourrais pas tenter ma chance. C’était vrai, et d’ailleurs, elles en riaient beaucoup, disant qu’elle finirait mariée à un vieux croûton de l’aristocratie. Mais elle voulait s'amuser, gouter un peu à la vie. Au prochain match, je sors le grand jeu. prétexta Gillian. À ce rythme là tu va finir dans son lit en moins de deux. l’enfonça t-elle. Dis pas n'importe quoi, je suis sûre qu'il est sérieux Tu parles! repris son de plus belle. Elle aimait vraiment la taquiner. Allez, tais toi. déclara la jeune fille. Fais gaffe à tes fesse quand même. Promis. Et elle a eu raison. Après quelques mois de relation, voire plusieurs longs mois, il a décidé de la virer du jour au lendemain sans aucunes explication. Pour couronner le tout, il ne s'est pas gêné de faire traîner de sales rumeurs sur le nom de Wellington et de Gillian. Ce qu'elle n'a pas du tout du tout bien encaissé. Elle est restée pendant un moment à suivre les cours chez elle avant de revenir en cours, plus affutée que jamais contre les garçons du genre.

Gillian a toujours vécu dans l'ombre de son père tout comme sa mère, à recevoir sans arrêt des reproches de sa part. Elle ne pouvait pas protester. Elle a fréquenté les meilleures écoles, les plus chères. Son père ne vivait que pour l’argent, et avait déjà promulgué son enfant comme l’enfant prodige, l’enfant roi. Sauf qu'il a préféré l'ignorer, car c'était une fille. Toutefois elle a reçu toute cette culture d'un monde ou l'argent et la société vont de paire pour les affaires, une vie très superficielle sous tous les angles. Mais elle n'a jamais été très réceptive à ce monde, Gillian es tle genre de fille qui n'aime pas se prendre la tête, qui peut sortir dehors sans une once de maquillage, le tout sans avoir gonte. Au lycée, elle aurait pu être le genre de fille qu'on idôlatre, qu'on aime, populaire. Elle avait ce qu'il fallait pour plaire. Issue de bonne famille, souriante, sympathique, physique pas trop ingrat. Mais pas le genre de famille très appréciée. On a trop souvent associé le nom des Wellington à une famille de snob égoïstes. Bonbe élève, elle emmerdait implicitement ses camarade. Wellington par ici, Wellington par là, est a été destinée à être en haut de l'échelle et faire une grande carrière. Elle avait toutes les voies ouvertes, vers le monde du business, mais ça ne lui correspondait pas vraiment. Alors elle s'est inscrite à la fac de Toronto, au lieu de s'inscrire à celle de Yale, dans le programme d'économie appliquée. Elle a également choisit de s'installer dans une ville voisine, notamment dans le complexe immobilier de Casa Loma.

I was looking for a breath of life
Papa, Maman, il faut que je vous parle. Habillée plutôt élégamment, elle revenait tout juste de sa soirée de remise des diplômes. Elle avait promis de ne pas revenir trop tard pour fêter le tout, ainsi qu'ouvrir certaines lettres d'admissions. Elle savait qu'elle aurait du faire demi-tour de suite, mais ses parents allaient le savoir un jour ou l'autre. Je n'ai pas postulé à Yale. J'ai décidé d'aller à la faculté de Toronto, dans le programme de sciences. Voilà, elle avait craché le morceau, elle n'avait pas pris quatre chemins différents et avait été très directe, voire un peu trop. Un air de désappointement pouvait se lire dans ses yeux. Elle n'osait même pas regarder ses parents dans les yeux. On peut savoir ce que tu fais? Tu n'es pas capable de faire comme tout le monde ou comme on te le dis depuis des années? Des traditions, toujours les traditions, de l'argent, toujours. Son père l'avait acheté toute sa jeunesse et il continuait. Si elle ne s'en détachait pas, elle savait qu'elle se retrouverait dans quelques temps avec la bague au doigt.Je voudrais que tu me foutes la paix papa. Son père s'esclaffa. Un rire lourd, moqueur, mais nerveux. Qu'on te foute la paix? Tu veux que je te laisse comme une vagadonde peut-être? Tu serais pas capable de vivre sans nous. Il parlait du reste du monde comme des incapables. T'es qu'un borné papa.. Et là..c'est plus ou moins le drame la rupture. Son père fronça les sourcils et devint rêche. Très bien. tu peux empaqueter quelques affaires et aller t'installer autre part, et évite de remettre les pieds ici en ma présence. La conversation avait ce gout amer, entre la colère et l'émotion. Depuis près de plusieurs longs mois, son père a coupé les ponts du moins socialement avec Gillian, ce n'est même pas s'ils se disent bonjour. C'est une situation plutôt inconfortable qu'elle a sur le dos. Depuis cette année là, Gillian a ré-appris à prendre la vie du bon côté des choses. De savourer les instants présents. De consommer la vie à toute vitesse, telle quelle, sans chichis. Elle est devenue cette jeune fille qui sous ses airs sérieux aime faire la fête, se payer une bonne tranche de rigolade au déjeuner du midi, et qui n'hésite jamais à ressortir des références culturelles toutes aussi farfelues les unes que les autres à longueur de journées.



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Dernière édition par Gillian Wellington le Dim 13 Mai - 17:16, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES.   ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. EmptyJeu 10 Mai - 21:04

Victoria ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. 1626129382 Et la citation est toute mignonne aussi! BIENVENUE par ici et bon courage pour ta fiche ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. 388342071
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MessageSujet: Re: ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES.   ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. EmptyJeu 10 Mai - 21:10

Bienvenue parmi nous. ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. 1626129382
Je trouve qu'elle ressemble à Katharine McPhee. ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. 1113388014
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MessageSujet: Re: ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES.   ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. EmptyDim 13 Mai - 17:55

Je valide. (:
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MessageSujet: Re: ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES.   ▽ YOU CAME OVER ME LIKE SOME HOLY RITES. Empty

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