∞ no light in your bright blue eyes.

ISEULT ANNIE HAMILTON

❝ the memories in my head are just as real as the time we spent.
you’ll always be close to me, this is not the end. ❞

vingt années ∞ un certain trente-et-un juillet ∞ étudiante en astronomie ∞ palmerston

∞ all this and heaven too

Iseult n'a jamais connue ses parents biologiques, en particulier sa mère qui est morte en couche peu de temps après sa naissance. Dès lors, ce fut le frère de sa mère qui pris la décision de l'adopté comme sa propre fille. Dès lors, elle porte le patronyme de son oncle qu'elle a toujours considéré comme son père. Δ Ce dernier est d'ailleurs inspecteur de police dans le centre de Toronto, une ville qu'ils habitent tous deux depuis toujours. Δ Elle ne supporte pas du tout la musique assourdissante, et préfère de loin tout autre musique. Δ Par ailleurs, elle joue depuis son plus jeune âge du violoncelle. Δ Elle entreprend des études en sciences plus précisément en astronomie, un domaine qui a forgé son enfance et encore aujourd'hui. Δ Certains membres de son entourage lui reprochent son coté individualiste et réservé, mais pour autant elle a toujours apprécié une certaine solitude. Δ Elle ne boit pas du tout de caféine, mais boit une dose de thé sous plusieurs arôme c'est d'ailleurs une fine connaisseuse en matière de thé médécinal. Δ Possède un petit cocker golden prénommé Sherlock, petite elle adorait cette série. En parlant de série, elle adore toutes sortes de séries en particulier les animés japonais pour lesquels elle a un grand coup coeur. Δ Les festivités de fin d'années on l'habitude de lui redonner du baume au coeur, car c'est une fête où toute la famille se réunit. Δ Il y a quelques mois, la jeune fille a été victime d'une agression, qui résulte du fait qu'elle a été témoin d'un meutre. Elle était au mauvais endroit au mauvais moment. Δ Depuis cette histoire, la brunette essaie d'avancer mais c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire bien entendu. Δ Son oncle la surprotège un peu plus, ce qui n'est pas évident puisque sa nièce est en plein dans cette histoire. Δ Elle croit clairement au bon fond de chacun et trouve toujours un con coté chez chacun des gens qu'elle croise. Δ La Hamilton n'a jamais connue le grand amour avec un a magistral, mais le plus important pour elle est de voir la personne qu'elle affectionne heureuse avec ou sans elle. Δ Le fils de son professeur de musique ne l'a laisse pas indifférente, mais elle met un voile là dessus. Δ Elle porte une bague à son annulaire gauche, bijou de famille qui appartenait à sa figure maternelle. (...)

quelques petites informations:

∞ only if for a night

Citation :: comment te dire je veux pas te mentir tu m'attires
et c'est la que ce trouve le vrai fond du problème.

« Allez Adam fait pas ton rabat joie pour une fois, et viens t’amuser avec nous ? Il y a des filles de l’université de lettres qui seront là ! Sérieux mec … ». La voix presque suppliante de son camarade de toujours allait il trouver preneur à cette proposition que tout jeune homme de l’âge d’Adam aurait accepté sans hésitation ? Le dénommé Adam esquissa une brève œillade en direction de la porte principale du conservatoire, et souleva sa chevelure en bataille en rigolant avec sournoiserie. « Cela sera pour une autre fois les gars, j’ai à affaire avec les promesses que je dois tenir. ». Il se retourna avec ambitions et une désinvolture qui lui étaient bien propre et entra à la suite de la jeune brunette qui venait de rentrer à l’intérieur du conservatoire quelques minutes auparavant. Il était rare que le jeune homme refuse aux invitations de sa bande d’amis que sa mère jugeait peu fréquentable et elle avait de quoi après tout, via leur amitié son fils avait été témoin et donc complice de quelques accidents de parcours à mettre sur le compte de la jeunesse. Il ne s’en sortait pas trop mal jusque là, et cela devait continuer ainsi. Cette situation était devenu stable depuis qu’il avait fait la connaissance de l’élève de sa mère, une certaine Iseult. Personnage avec laquelle il avait bien du mal à parler en solitaire, elle était beaucoup mystérieuse et introvertie à son gout et pourtant il avait envie de prendre soin de sa personne et de la protéger. (…) Replaçant son instrument dans son étui en cuir foncé, la Hamilton se redressa prête à rentrer à emprunter le chemin du retour lorsqu’Adam lui fit face, un sourire de loup sur les lèvres. S’il comptait la séduire avec cet attitude, il pouvait toujours se rhabiller. Elle arqua un sourcil, tandis qu’il passait une main derrière sa nuque comme mal à l’aise par cette situation. « Désolé Adam mais je ne mange pas de ce pain là. ». Iseult le dévisagea de haut en bas avant de le contourner pour reprendre sa marche lorsqu’il répliqua d’une voix sérieuse et teinté d’amusement. « Au moins tu te souviens de mon prénom, c’est déjà un début tu ne crois pas ? ». Interrogation soudaine qui provoqua chez la jeune musicienne une grimace implicite et peu compréhensive sur ses traits d’expressions. « Un début de quoi ? Et surtout un début pourquoi ? ». N’allait pas croire qu’elle était candide, non bien au contraire elle savait ce qu’il attendait de sa personne, du moins elle n’espérait ne pas faire fausse route sur les attentions sur le fils de sa professeur. « Tu veux vraiment que je te le dises de vive voix ? C’est ça n’est ce pas ? Je te comprend je suis un mec plutôt imprévisible avec un léger casier judiciaire et tu préfère être prudente … je ne t’en veux pas, qui pourrait t’en plaindre d’ailleurs … ». Soupira-t-il avec une sincérité qui la désarma quelque peu. Entrevoir le bon fond de chaque personne était une chose qu’elle percevait chez chacune de ses connaissances et elle pouvait le voir en la personne d’Adam. S’approchant de ce dernier, elle lui serra la main en le considérant d’un petit sourire aux commissures des lèvres. « Et si tu commençais par me raccompagner ? ». Pour la première fois depuis longtemps, elle parvenait à mettre derrière elle cette agression et donc à mettre un peu derrière elle de cette histoire antérieure. Adam, pressa doucement sa paume contre la sienne en lui rendant un sourire de loup qui lui appartenait bien.